Samedi29octobre

L'hôtel Angamos de Santiago où nous logeons.

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Petite balade dans la grand parc O'Higgins, le lieu de détente des jeunes avec son parc d'attractions et sa salles de spectacles.

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La piste de patins à roulettes est bien occupée en ce samedi matin.

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Pédalos et tables de piques-niques pour parfaire le parc.

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Retour vers le centre ville par le pont Pio Nono qui enjambe le fleuve Mapocho.

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Les cadenas des ponts parisiens on fait des émules, le pont Pio Nono à aussi droit à ses verrous de l'amour...  

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Ha oui, j'ai quand même alterné mes frites avec de la purée !...  

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N'ayant pu utiliser les funiculaires de Valparaíso pour cause de grève, nous profitons au moins de celui du Cerro San Cristobal, la colline la plus haute de Santiago.

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Le funiculaire a été mis en service en 1925.

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Le croisement des deux funiculaires.

La vue englobe une bonne partie de Santiago.

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Quelques pas pour atteindre le sommet où les 14 mètres de la statue de la Vierge viennent s'ajouter aux 863 mètres de la colline...

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Cette statue a été érigée en 1908.

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Sous les pieds de la statue, le socle renferme une petite chapelle construite par l'architecte français Eugène Joannon Crozier.

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Face à la statue, au loin, s'érige la grande tour de Santiago avec ses 300 mètres.

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De la statue, un chemin de crucifix mène à la chapelle du Sanctuaire, dédiée à la "Maternité de la sainte vierge"...

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Nous redescendons la colline à pied et profitons d'un peu de verdure sauvage qui résiste encore à l'architecture impitoyable de la grande ville...

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Les 64 étages répartis sur les 300 mètres de la "Gran Torre Santiago".

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De l'autre côté, ce ne sont plus des collines mais des montagnes qui bloquent l'avancée de la capitale.

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Nous terminons la journée par une rapide balade dans le cimetière général ("Cementerio general"), le Père-Lachaise chilien, situé dans le quartier de la Recoleta.

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Des coins boisés et espacés...

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...mais aussi l'optimisation de l'espace où chaque cercueil a le droit à son carré. Pas plus. Ici les chiliens s'affaire à nettoyer et fleurir la dernière demeure de leur proche, puisque dans deux jours, nous serons le 1er novembre, jour de la Toussaint.

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Le mémorial aux victimes du régime d'Augusto Pinochet. Sur ce mur, sont inscrits à gauche, les noms des personnes exécutées, et à droite les détenus disparus...

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La station de métro cementerios.

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Dîner du soir avec des empenadas, les typiques chaussons fourrés de viande, ou de fromage ou de légumes... Puis nous rejoignons la station centrale où nous prenons un bus pour rejoindre notre prochaine étape dans la région de l'Araucanie située à 600 kilomètres au sud !

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