Andalousie 2020
Séville, musée des Beaux-Arts, palais et monuments
Vendredi6novembre
Jamais nous aurons fait autant de musée dans un voyage ! Mais avec la pandémie, les lieux sont désertés et les visites se font en mode VIP ! Imaginez réserver un musée entier rien que pour vous, le covid nous le permet, profitons-en ! Le musée des Beaux-Arts nous ouvre ses portes et les gardiens seront plus nombreux que les visiteurs, au nombre de 2 !
Et de plus, la prise de photo est totalement autorisée ! Je vais pouvoir me régaler à reprendre à mon compte les œuvres exposées en les recadrant au gré de mes envies du moment... Les photos ne représentent donc pas toujours les tableaux dans leur intégralité ni dans leur aspect réel, car l'appareil photo remplace le travail du restaurateur en ravivant les couleurs. J'espère que feu leurs auteurs ne m'en voudront pas !
A gauche, l'archange saint Michel du peintre El Hispalense. A droite, Saint Pedro González Telmo.
À gauche, Saint André et Saint Jean-Baptiste sur un des 4 panneaux qui composent le retable de l'église San Benito de Calatrava. À droite, Saint Christophe sur un des autres tableaux du retable.
Détail du Baptême du Christ (1570) de Pieter Pourbus.
Autre détail du Baptême du Christ (1570) de Pieter Pourbus.
Le Jugement dernier du retable du couvent de Saint-Augustin (1570) par Martin de Vos.
Vierge et l'enfant (1560) par Marcellus Coffermans. Et Vierge et l'enfant (1550) par Ambrosius Benson.
Saint François Borgia (1624) par Alonso Cano. Et Don Cristóbal Suárez de Ribera (1620) par Diego Velázquez.
Le grand patio boisé au milieu du musée.
Le bâtiment reconverti en musée en 1835 est l'ancien couvent de la Merced Calzada de la Asunción datant lui du 13ème siècle.
La Sainte cène (1588) par Alonso Vázquez.
Le Transit de Saint Herménégild (1603) par Juan de Uceda. Et La venue de l'Esprit Saint (~1615) par Juan de las Roelas.
Saint François d'Assise enlaçant le Christ crucifié (1668/1669), et Saint Antoine de Padou et l'enfant Jésus. Les deux œuvres sont du peintre sévillan Bartolomé Esteban Murillo (1617-1682).
Autre voûte dans un tout autre style, beaucoup plus baroque.
Christ confessant Saint Dominique (1710) par Alonso Miguel de Tovar. Saint Dominique réconfortés par la Vierge et les Saints Martyrs (1710) par Juan Simon Gutierrez.
Détails de Saint Ignace de Loyola et Saint François d'Assise contemplant l'Eucharistie (1674) par Juan de Valdés Leal.
Santiago Apóstol (1634) par José de Ribera. Portrait d'une dame (1630) par Cornelis de Vos.
Scène de bataille (~1640) par Sébastien Vrancx.
Saint Jacques le Majeur par Francisco Polanco.
La Vierge des grottes (~1655) par Francisco de Zurbarán.
Le tableau dans son cadre et sous l'étonnante voûte en bois.
Visite de Saint Bruno à Urbain II (~1655) et Saint Hugues au réfectoire (~1655) par Francisco de Zurbarán
Deux détails du tableau La rencontre d'Abraham et Melchisédech (~1720) par Andrés Pérez.
Détail du Carro del Pregón de la Máscara (1748) de Domingo Martinez. Grand tableau de 2,92 mètres sur 1,35 mètre dont cette partie ne doit faire qu'une cinquantaine de centimètres.
Détail du Carro de la Común Alegría (1747) et le Carro del fuego (1747) par Domingo Martinez.
j'aime ! | Couronne avec la Vierge et l'Enfant par Juan Jose del Carpio. |
Portrait du monsieur Anzoategui (1842) par Federico de Madrazo.
Portrait de Gustavo Adolfo Bécquer (1862) par Valeriano Domínguez Bécquer. Et L'enfant au violon (1900) par José García y Ramos.
La mort du maestro (1884) par José Villegas Cordero.
Portrait de Doña María Roy couchée sur le canapé (1890) par Gonzalo Martínez Bilbao. Et Sevillana dans son patio (1918) par Diego López.
La Santera par Manuel González Santos.
Conte de sorcière (1900) par Nicolás Alperiz.
La pêcheuse (1885) par Rafael Senet. Portrait de Conchita (~1910) par José Rico Cejudo.
Détail de la Scène de famille (1952) par Rafael Martínez Díaz.
Intérieur hollandais (1912) par Antonio Ortiz Echagüe. Et Portrait du peintre Pablo Uranga (1937) par Ignacio Zuloaga.
Détail du ¡Hasta verte, Cristo mío ! (1895) par José García Ramos. Et Portrait de José Domínguez Bécquer par Antonio María Esquivel.
Voici une visite rondement menée ! La sortie passe par le célèbre peintre sévillan Bartolomé Esteban Murillo dont nous aurons pu profiter de quelques-unes de ses œuvres.
Sorti de l'imagination de l'architecture de Jürgen Hermann Mayer, ce grand "parasol" a été inauguré le 27 mars 2011 après 6 ans de travaux.
Le structure de bois prend place au-dessus de la place de la Encarnación. On imagine la polémique lorsque le monument a commencé à prendre forme. Le champignon est assez énorme et dissimule tout le charme des grandes places andalouses... Mais sûrement qu'en plein été le grand parasol contente la plupart des piétons qui passent par ici.
L'édifice permet aussi d'avoir une belle vue sur la ville. Tout un parcours permet d'explorer le chapeau du grand champignon.
Les vestiges de l'exposition universelle de 1992 ! La réplique de la fusée Ariane 4 et le pavillon du futur.
"Le Palacio de las Dueñas appartient à la Maison d'Albe et fut construit entre le 15ème et le 16ème siècle. Composé de plusieurs édifices séparés par des patios et des jardins, son architecture allie les styles gothico-mudéjar et Renaissance. Le palais fut déclaré Bien d'intérêt culturel en 1931 et son mobilier en 2010" © Wikipedia
A gauche, une dentelaire du cap (Plumbago auriculata). A droite, des fleurs de lantanier.
L'ancienne petite chapelle et sa peinture "Sainte Catherine de Sienne entre les saints" de Neri di Bicci.
Tentative d'ascension des 58 mètres de la torre de los Perdigones (tour des chevrotines) mais le covid est passé par là et les portes resterons fermées... Dommage car nous aurions pu tester la camara oscura comme à Cadix.
Nous arrivons sur l'impressionnante place d'Espagne qui s'étend sur 200 mètres.
Vous pourrez saluer ici Aníbal González, le premier architecte de la place. Commencés en 1914, les travaux se finiront en 1928.
La fontaine de Vicente Traver.
Tout le long du palais, des bancs en azulejos représentent les 48 provinces de l'Espagne.
La province de Cadix représentée par la promulgation de la Constitution espagnole de 1812.
Nous quittons la place d'Espagne pour rejoindre le Guadalquivir et sa vieille tour del Oro datant du 13ème siècle.
Les 180 mètres de la récente tour Sevilla inaugurée en 2016. Avant elle, il n'y avait pas de gratte-ciel dans la ville !
La plaza de Toros de la Maestranza
Francisco Lopez Romero plus connu sous le nom de "Curro Romero". En 2012, le célèbre torero aura le droit d'inaugurer sa propre statue.
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